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Kathleen Moore
Admin FC1867
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Articles in English
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- 135 Mother Tongues in CDN-NDG, Montreal
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- Canadian Jewish Supremacists Demand “Open Borders” for Canada
- Confederation and the Dead of World War I
- For a Binding Referendum on all Future Immigration
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Thursday, October 4, 2012
La vraie confédération comme décrite par l'Hon. Langevin en 1865
12:59 PM | Posted by
HABEAS CORPUS CANADA |
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L'HON. Sol.-Gén. H.-L. LANGEVIN :
-- Lors de l'Assemblée législative, le 21 février 1865
« Le gouvernement est prêt à s'engager à présenter une mesure, à la prochaine session, pour faire disparaître les difficultés existantes en introduisant le principe fédéral en Canada, accompagné d'une disposition qui permettra aux provinces maritimes et au territoire du Nord-Ouest de s'incorporer dans le même système de gouvernement.
[caption id="attachment_622" align="alignnone" width="221" caption="L'Hon. Hector-Louis LANGEVIN, Père de la Confédération"]
[/caption]
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Et le gouvernement cherchera, en envoyant des représentants aux provinces inférieures et en Angleterre, à gagner l'assentiment des intérêts, qui sont hors du contrôle de notre législature, à la mesure qui permettra à toute l'Amérique Britannique du Nord de s'unir sous une législature générale basée sur le principe fédéral.
Eh bien ! quelle contradiction y a-t-il dans ces promesses et dans l'action actuelle du gouvernement ? Nous commençons d'abord avec un plan de confédération pour les deux Canadas, et trouvant les provinces maritimes prêtes à entrer de suite dans l'étude d'une union plus considérable, nous avons fait des arrangements pour les faire entrer immédiatement dans la confédération. Il n'y a pas de contradiction là-dedans ; mais c'est la même
mesure, c'est le même plan ; la seule différence, c'est qu'au lieu de les admettre dans l'union dans six ou neuf mois, nous les avons admises de suite. Lorsque nous avons abordé la question, nous avons trouvé les provinces maritimes en voie de délibérer sur une union entre elles ; mais les délégués à Charlottetown ont compris que la confédération que nous leur proposions serait beaucoup plus avantageuse à toutes les provinces que celle à laquelle ils travaillaient, et ils ont consenti de suite à accepter notre proposition. En conséquence, ils sont venus à Québec, et le résultat de leur visite
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a été le plan qui est soumis à cette chambre. L'hon. membre pour Hochelaga n'a donc pas le droit de nous reprocher d'avoir changé le plan promis à la chambre, puisque c'est mot pour mot ce que nous avons promis Cette mesure, comme je le disais il y a un instant, ne saurait durer que si elle protège les intérêts de tous. Or, nous avons des intérêts différents dans le Bas-Canada, où vivent deux populations de races différentes, de religions différentes et parlant des langues différentes. D'un autre côté, le Haut-Canada a une population homogène, mais professant différentes religions, et il en est ainsi pour les diverses provinces maritimes. Nous avons, aussi, dans ces dernières provinces, plus de cent mille compatriotes d'origine française. Eh bien ! M. l'ORATEUR, ces intérêts diffé-
rents, nous avons eu soin de les protéger, et de sauvegarder les droits de cette population en l'unissant dans la confédération à un
peuple comptant un million d'habitants de la même race qu'elle. Mais on nous a dit : "Vous voulez former une nationalité nouvelle ! " Il faut s'entendre sur ce mot, M. l'ORATEUR. Ce que nous désirons et voulons, c'est défendre les intérêts généraux d'un grand pays et d'une puissante nation, par le moyen d'un pouvoir central et fort. D'un autre côté, nous ne voulons pas faire disparaître nos différentes coutumes, nos mœurs, nos lois : au contraire, c'est là précisément ce que nous désirons le plus protéger par la confédération. Sous le nouveau système, il n'y aura pas plus raison qu'aujourd'hui de perdre notre qualité de Français ou d'Anglais, sous le prétexte que nous aurons tous les mêmes intérêts généraux, et nos intérêts de race, de religion et de nationalité resteront ce qu'ils sont aujourd'hui. Mais ils seront mieux protégés sous le système proposé, et c'est là encore une des plus fortes raisons en faveur de la confédération. Non seulement en effet nous nous sommes assurés de cette protection, mais les provinces parties à la confédération l'ont ainsi voulu. Tous les intérêts locaux seront soumis et laissés à la décision des législatures locales.
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Source : Débats parlementaires sur la question de la Confédération des provinces de l'Amérique britannique du Nord : 3e session du Parlement provincial du Canada (1865).
FC1867 Commentaire : Le but de la confédération en 1867 était de donner à chaque peuple fondateur -- à chaque race -- sa propre législature locale pour se régir selon ses propres vues et souhaits, en perpetuité.
Quand l"Hon. Hector-Louis Langevin a dit « pour faire disparaître les difficultés existantes en introduisant le principe fédéral en Canada», il se réfère aux difficultés entres les deux races différentes essayant de vivre ensemble dans la vieille province unie du Canada, qui est devenue le Québec et l'Ontario en 1867.
La Confédération, le fédéralisme, a été faite en 1867 POUR SÉPARER les deux races de la vieille Province du Canada, ainsi que de SÉPARER toutes les autres peuples fondateurs sur leurs propres sols, pour assurer la paix et l'autonomie à chacun.
Le Canada est ainsi, parlant constitutionnellement, une confédération ETHNIQUE de et pour ses peuples fondateurs.
Il n'y a pas d'autre but légal à la Confédération.
Ceux que nous élisons au fédéral et aux gouvernements provinciaux n'ont aucun pouvoir d'éviter la Constitution qui établisse la Confédération.
Ils n'ont aucun pouvoir de changer la Confédération pour un autre système par quelque moyen que ce soit, incluant par l'immigration, ou par l'immigration massive, ou en mettant en application des politiques contraires à la Confédération.
Ceci est clair du fait même que le fédéralisme a été adopté POUR SÉPARER les races fondatrices, donnant à chaque majorité sur son propre sol une législature unique pour sa propre protection permanente.
Tout le pouvoir politique découle directement de la Loi constitutionnelle de 1867, et d'aucune autre source.
Personne qui est élu ou nommé sous la constitution de 1867 n'a n'importe quel pouvoir de faire quoi que ce soit contraire aux buts de la Confédération de 1867. Personne ne peut rien faire qui n'est pas expressément autorisé par un pouvoir existant et fourni dans le texte de la Constitution elle-même, et ce selon les buts de la Constitution.
Faire autrement, serait DE MODIFIER la Constitution illégalement, en substituant une constitution politique ad-hoc sans base ni fondement en 1867.
Ni un gouvernement provincial ni le gouvernement fédéral n'a aucun POUVOIR sous la Constitution de 1867 de changer la nature fédérale du Canada en convertissant les provinces en petites confédérations miniatures des centaines de communautés multiculturelles, équivalentes à une séries de républiques centralisées. Ceci boulverserait la Confédération.
La seule manière de mettre fin à des politiques illégales favorisant le multiculturalisme alimenté par l'immigration de masse, est d'exiger que ceux que nous élisons se comportent strictement selon la vraie constitution légale de 1867.
Ce qui exige une déclaration formelle que le multiculturalisme n'a AUCUNE VALEUR JURIDIQUE au Canada.
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-- Lors de l'Assemblée législative, le 21 février 1865
« Le gouvernement est prêt à s'engager à présenter une mesure, à la prochaine session, pour faire disparaître les difficultés existantes en introduisant le principe fédéral en Canada, accompagné d'une disposition qui permettra aux provinces maritimes et au territoire du Nord-Ouest de s'incorporer dans le même système de gouvernement.
[caption id="attachment_622" align="alignnone" width="221" caption="L'Hon. Hector-Louis LANGEVIN, Père de la Confédération"]

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Et le gouvernement cherchera, en envoyant des représentants aux provinces inférieures et en Angleterre, à gagner l'assentiment des intérêts, qui sont hors du contrôle de notre législature, à la mesure qui permettra à toute l'Amérique Britannique du Nord de s'unir sous une législature générale basée sur le principe fédéral.
Eh bien ! quelle contradiction y a-t-il dans ces promesses et dans l'action actuelle du gouvernement ? Nous commençons d'abord avec un plan de confédération pour les deux Canadas, et trouvant les provinces maritimes prêtes à entrer de suite dans l'étude d'une union plus considérable, nous avons fait des arrangements pour les faire entrer immédiatement dans la confédération. Il n'y a pas de contradiction là-dedans ; mais c'est la même
mesure, c'est le même plan ; la seule différence, c'est qu'au lieu de les admettre dans l'union dans six ou neuf mois, nous les avons admises de suite. Lorsque nous avons abordé la question, nous avons trouvé les provinces maritimes en voie de délibérer sur une union entre elles ; mais les délégués à Charlottetown ont compris que la confédération que nous leur proposions serait beaucoup plus avantageuse à toutes les provinces que celle à laquelle ils travaillaient, et ils ont consenti de suite à accepter notre proposition. En conséquence, ils sont venus à Québec, et le résultat de leur visite
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a été le plan qui est soumis à cette chambre. L'hon. membre pour Hochelaga n'a donc pas le droit de nous reprocher d'avoir changé le plan promis à la chambre, puisque c'est mot pour mot ce que nous avons promis Cette mesure, comme je le disais il y a un instant, ne saurait durer que si elle protège les intérêts de tous. Or, nous avons des intérêts différents dans le Bas-Canada, où vivent deux populations de races différentes, de religions différentes et parlant des langues différentes. D'un autre côté, le Haut-Canada a une population homogène, mais professant différentes religions, et il en est ainsi pour les diverses provinces maritimes. Nous avons, aussi, dans ces dernières provinces, plus de cent mille compatriotes d'origine française. Eh bien ! M. l'ORATEUR, ces intérêts diffé-
rents, nous avons eu soin de les protéger, et de sauvegarder les droits de cette population en l'unissant dans la confédération à un
peuple comptant un million d'habitants de la même race qu'elle. Mais on nous a dit : "Vous voulez former une nationalité nouvelle ! " Il faut s'entendre sur ce mot, M. l'ORATEUR. Ce que nous désirons et voulons, c'est défendre les intérêts généraux d'un grand pays et d'une puissante nation, par le moyen d'un pouvoir central et fort. D'un autre côté, nous ne voulons pas faire disparaître nos différentes coutumes, nos mœurs, nos lois : au contraire, c'est là précisément ce que nous désirons le plus protéger par la confédération. Sous le nouveau système, il n'y aura pas plus raison qu'aujourd'hui de perdre notre qualité de Français ou d'Anglais, sous le prétexte que nous aurons tous les mêmes intérêts généraux, et nos intérêts de race, de religion et de nationalité resteront ce qu'ils sont aujourd'hui. Mais ils seront mieux protégés sous le système proposé, et c'est là encore une des plus fortes raisons en faveur de la confédération. Non seulement en effet nous nous sommes assurés de cette protection, mais les provinces parties à la confédération l'ont ainsi voulu. Tous les intérêts locaux seront soumis et laissés à la décision des législatures locales.
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Source : Débats parlementaires sur la question de la Confédération des provinces de l'Amérique britannique du Nord : 3e session du Parlement provincial du Canada (1865).
FC1867 Commentaire : Le but de la confédération en 1867 était de donner à chaque peuple fondateur -- à chaque race -- sa propre législature locale pour se régir selon ses propres vues et souhaits, en perpetuité.
Quand l"Hon. Hector-Louis Langevin a dit « pour faire disparaître les difficultés existantes en introduisant le principe fédéral en Canada», il se réfère aux difficultés entres les deux races différentes essayant de vivre ensemble dans la vieille province unie du Canada, qui est devenue le Québec et l'Ontario en 1867.
La Confédération, le fédéralisme, a été faite en 1867 POUR SÉPARER les deux races de la vieille Province du Canada, ainsi que de SÉPARER toutes les autres peuples fondateurs sur leurs propres sols, pour assurer la paix et l'autonomie à chacun.
Le Canada est ainsi, parlant constitutionnellement, une confédération ETHNIQUE de et pour ses peuples fondateurs.
Il n'y a pas d'autre but légal à la Confédération.
Ceux que nous élisons au fédéral et aux gouvernements provinciaux n'ont aucun pouvoir d'éviter la Constitution qui établisse la Confédération.
Ils n'ont aucun pouvoir de changer la Confédération pour un autre système par quelque moyen que ce soit, incluant par l'immigration, ou par l'immigration massive, ou en mettant en application des politiques contraires à la Confédération.
Ceci est clair du fait même que le fédéralisme a été adopté POUR SÉPARER les races fondatrices, donnant à chaque majorité sur son propre sol une législature unique pour sa propre protection permanente.
Tout le pouvoir politique découle directement de la Loi constitutionnelle de 1867, et d'aucune autre source.
Personne qui est élu ou nommé sous la constitution de 1867 n'a n'importe quel pouvoir de faire quoi que ce soit contraire aux buts de la Confédération de 1867. Personne ne peut rien faire qui n'est pas expressément autorisé par un pouvoir existant et fourni dans le texte de la Constitution elle-même, et ce selon les buts de la Constitution.
Faire autrement, serait DE MODIFIER la Constitution illégalement, en substituant une constitution politique ad-hoc sans base ni fondement en 1867.
Ni un gouvernement provincial ni le gouvernement fédéral n'a aucun POUVOIR sous la Constitution de 1867 de changer la nature fédérale du Canada en convertissant les provinces en petites confédérations miniatures des centaines de communautés multiculturelles, équivalentes à une séries de républiques centralisées. Ceci boulverserait la Confédération.
La seule vraie protection des peuples fondateurs du Canada est la vraie Constitution légale de 1867.
La seule manière de mettre fin à des politiques illégales favorisant le multiculturalisme alimenté par l'immigration de masse, est d'exiger que ceux que nous élisons se comportent strictement selon la vraie constitution légale de 1867.
Ce qui exige une déclaration formelle que le multiculturalisme n'a AUCUNE VALEUR JURIDIQUE au Canada.
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